750 grammes
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31 janvier 2011 1 31 /01 /janvier /2011 20:46

Top chef...

top_chef.jpg

et on verra ce que l'on en pense...

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28 janvier 2011 5 28 /01 /janvier /2011 12:00

Ah Ah, Guilo Guilo, le célèbre restaurant Nippon de Montmartre. Jamais une critique depuis 2008, "haute couture japanese cuisine", "c'est du nippon de fulgure haute couture" pour le fooding  (en même temps, pour ce que je pense du fooding...), un truc de malade, un truc de ouf!!! Pour ma part, le "ouf", c'était à la sortie... Je vous explique, un certain temps que je me dis que je finirai par goûter la cuisine "si fameuse" d'Elichi Edakuni, le restaurant étant en plus dans "ma" rue (parisienne et historique, j'y ai fait mes premiers pas), j'ai fini par décrocher mon téléphone, et par là-même une place. Dimanche, 21h30, me voilà assis au bar, une bière japonaise à la main prêt à savourer les "fulgurances" du maître. Suite de petits plats à 45€, bière à 5€, vin (assez cher) ou saké, c'est parti. guilo-guilo-2.JPG

Ce qui est génial, c'est le nombre de gens classant ce resto comme incontournable, car quand on observe le visage de tous ceux assis autour du chef lors de la dégustation du premier plat, on se demande comment il vont réussir à clamer le lendemain à qui veut bien l'entendre qu'ils sont allés chez Guilo Guilo et que c'était extraordinaire...Soupe à la grimace garantie pour le sushi aux langues d'oursin ou la poutargue au radis noir (un critique avait pourtant trouvé l'accord extra...j'espère que c'était ironique, testez chez vous, vous verrez...). Pas mieux pour le tempura de tripes de cabillaud, tempura de champignon gluant dans un bouillon tout aussi gluant, à côté de ça, du gâteau la jelly british, du gâteau.

J'en entends déjà certains: "il n'y connaît rien", "il faut s'y connaître...c'est de l'art"...mon c.l!

Allons-y franco, sur les 8 plats, 2 étaient agréables, tous les autres...se passeront de mes commentaires.

Peut-être qu'il faut être initié, je ne sais plus moi, mais 2-3 trucs ne souffriront pas de commentaires: Un tempura doit être croustillant et chaud, on est d'accord? Alors quand l'entrée en contient 2 et qu'avant de vous être servie, elle attend un quart d'heure sur le bar (à vrai dire elle était déjà là quand je me suis assis), imaginez... On a aussi eu la version tempura mijotant dans le fameux bouillon gluant encore dix minutes sur le bar: résultat: un mélange sans nom PLUS que gluant. Le "génie" du chef devrait lui permettre de servir les plats au moment, ce serait un bon début.guilo-guilo-4.JPG

Au regard de tout ce que j'ai pu lire sur ce resto, peut-être l'envie s'est-elle estompée avec le succès? peut-être suis-je tombé un mauvais soir? mais honnêtement, c'est un des pires dîners fait depuis longtemps. Je pense que mes 2 acolytes féminines me remercient encore de ce petit moment, remarque, on s'est bien marré. Sinon, tout le monde est très sympa, la clientèle un peu prout-prout, mode et cie...(c'est peut-être ça qui l'a tué?)

Je ne vais pas m'ébahir pour faire comme les autres, les intellos de la fourchette et autres "connaisseurs" de je ne sais quoi, je suis prêt à parier avec qui veut qu'au moins 80% des gens, et c'est un minimum, n'auraient pas apprécié ce dîner. Les 20% autres, vous pouvez y aller.

 

Guilo Guilo - 8, rue garreau - Paris 18 - 01 42 54 23 92

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24 janvier 2011 1 24 /01 /janvier /2011 09:49

"Je suis un mammifère au long coup et un appareil ménager utilisé en cuisine. Qui suis-je?"... " la dinde s'appelle ainsi car à l'origine on disait la poule d'Inde?" . Allez à vous de jouer, " le point jeux, à table", 1er trimestre 2011.
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14 janvier 2011 5 14 /01 /janvier /2011 11:00

On espère évidemment que le nom parle de lui-même à nos papilles, mais débarque-t-on vraiment dans l'onirisme dés la porte franchie?

Certes le cadre est enchanteur, avec ses couleurs, ces cloches en verre remontables, design bien pensé pour un lieu qui se veut différent, une pâtisserie "new generation".

Tendance régressive au niveau de ce qui nous intéresse: les petits gâteaux. Mont-blanc, tatin, Paris-Brest; tarte au citron meringuée...des bons classiques comme on les aime, et en bouche? Un régal, Paris-Brest à tomber, Mont-Blanc à se relever pour aller conquérir l'Everest à grands coups de Saint-Honoré. Tarte au citron assez classique, bien équilibrée dans le sucre, et c'est souvent le défaut de cette petite coquine. Baba au rhum délicieux si vous êtes d'humeur cuisinière (vendus par 2 avec le kit à baba, comptez 2h pour le préparer,le reposer et le manger) .patisserie des reves 4

Une bonne adresse pour les accros aux petits gâteaux et pour tout ceux qui voudrait s'enchanter en remangeant des classiques.

Le petit bémol, parce qu'il y en a un, en tout cas rue de Longchamp: l'accueil à la "Colette", genre "t'es une merde, je te toise: as-tu le droit de goûter aux pâtisseries; t'as 30 ans? t'as une Rolex???", ça fait un peu ça, en tout cas le jour où j'y suis allé. A tels point que je ne sais même plus si le vendeur a répondu au vieux monsieur qui voulait une tarte au pomme, pourtant classe le mec, on est dans le 16...

Allez, tous les vendeurs de Monsieur Conticini ne sont pas comme ça, tout du moins je l'espère, alors n'hésitez pas à aller vous régaler.

Gâteaux entre 5 et 10€, 14€ le duo de baba, mais il faut voir l'engin.

 

Pâtisserie des rêves - 93 rue du Bac - Paris 7 - 01 42 84 00 82

                                   111 rue de Longchamps - Paris 16 - 01 47 04 00 24

 

                                                         www.lapatisseriedesreves.com

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8 janvier 2011 6 08 /01 /janvier /2011 09:00

J'aime assez le concept de radin/chic (cf François Simon): aller dans des endroits "inaccessibles" pour profiter de l'accessible, comme par exemple aller boire le thé au Plaza Athénée sans pour autant se coller la chambre à 1000€.

Étudiant, avec les potes, j'aimais déjà aller boire une bière bien installé, cosy au Georges 5, regarder un gars donner 50€ de pourboire pour un café: pas d'envie, juste un plaisir qui, si l'on est pas gêné (ce qui peut arriver la première fois) est assez jouissif.

Référence kitsch à souhait, ça me rappelle le palace de "Maman j'ai raté l'avion 2" quand j'étais gosse. Avec tout le tralala que j'adore: le personnel en costume, au petit soin et toujours adorable; à 20 ans, le lendemain d'un concert punk, entendre un petit "...et pour monsieur, ce sera...", reposant. Niveau tarif, c'est évidemment plus cher qu'au PMU d'en bas où vous irez chercher votre petit jambon/beurre en suivant.

9€ le thé au Plaza, ce n'est pas non plus la ruine, vous avez le choix entre une vingtaine de thé, service en argent, belle porcelaine, petits cakes des cuisines, hummm, grands lustres tombant du plafond, et fauteuils qui pourraient vite faire tomber les paupières, que demander de plus...bah pas grand chose.DPP 0001

Bon, on est là pour parler friandises, parce qu'au Plaza, le pâtissier se nomme Christophe Michalak: Champion du monde de pâtisserie en 2005, passé par l'Angleterre, le Japon, Fauchon, Hermé, ladurée pour finir au Plaza Athénée, et me permettre de me régaler d'une religieuse au caramel et d'ours à la guimauve géant bien régressifs.     

Évidemment, et heureusement aurais-je envie de dire, ce fut la meilleure religieuse jamais mangé, pas coincée pour un sou, plutôt gourmande, très gourmande la mémère. Pâte à chou extraordinaire, glaçage parfait et crème à tomber, un ensemble difficile à décrire en bouche tant il est homogène. La tendance des grands pâtissier à retravailler des classiques me plaît bien, je n'ai jamais été très mousses en tous genres, génoises i tutti quanti, mais suis plutôt resté sur l'éclair, le millefeuille, la tarte au citron, le gros baba, la tagada et le tralala...calmons-nous, je m'emporte. Je n'ai pas pu tester autre chose, mes religieuses venaient directement de la cuisine, le reste n'étant près que pour le chariot à pâtisserie de l'après-midi, une prochaine fois...

La religieuse est à 10€, c'est cher, trop cher? franchement je n'en sais rien, peut-être bien que oui, peut-être bien que non, ça dépend de vous. Personnellement, je suis capable de me taper 100 bornes pour aller chercher des grosses asperges, alors je ne vais pas rechigner à dépenser 10€ pour un petit bonheur, un grand souvenir pour mes papilles. Dans le régressif, il y en a un autre qui n'est pas mal non plus...Philippe Conticini et sa Pâtisserie des rêves...j'y suis allé; Et quoi? il faut bien comparer...non?

 

Plaza Athénée - 25 avenue Montaigne - Paris 8               www.plaza-athenee-paris.fr

 

www.christophemichalak.com         www.amabilia.com

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7 janvier 2011 5 07 /01 /janvier /2011 09:00

Mon anniversaire bien sûr, et par là même les pizzas trop "deliciosas" de ma tante Catherine...pizza-cath.JPG

Et son pain à l'ail... pizza-ail.JPG

Et tout et tout...et tout le reste évidemment

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5 janvier 2011 3 05 /01 /janvier /2011 09:00

A l'origine j'étais censé aller faire un tour dans le paradis des épices d'Olivier Roellinger rue Saint-Anne. Puis pris pas le temps, je me suis satisfait et plutôt bien satisfait d'une petite antre odorante tout prêt du parc de mon enfance, rue Lepic dans le 18ème. Je suis passionné par le poivre depuis la découverte il y a quelques années, au hasard d'une flânerie à l'épicerie du bon marché, du poivre rouge de Pondichéry. Puis le poivre à queue, le poivre long, le blanc du Penja, le noir de Sarawak, tant de noms exotiques qui n'ont eu de cesse d'agrèmenter avec subtilité mes petits plats.

comptoir-colonial.JPG

Instinctif plus qu'"intellectuel du goût", il m'est assez difficile de décrire comme le feraient d'autres les teneurs en tel ou tel parfum de chaque grain de poivre. Je suis un peu comme ça aussi avec le vin...c'est la vie on ne se refait pas et j'ai pas envie de me coller l'encyclopédie des saveurs associées à chaque terroir, chaque cépage...chiant. Bref tout ça pour vous dire que le Comptoir Colonial est un petit trésor en ce qui concerne le poivre, ma soeur toujours "Montmartroise" m'en achetait et me l'envoyait à Toulouse, alors vous vous doutez bien qu'y mettre les pieds m'a mis le palais en feu. Et oui, le poivre c'est comme tout, ça se goûte, mais à sec...j'avoue que c'est moins agréable qu'une dégustation de crème à la vanille...smoothie! en tout cas j'en suis ressorti avec pleins de paquets pour compléter ceux que j'avais déjà, faire de nouvelles alliances, me régaler! J'ai aussi acheté du sel orange d'Australie, je vous l'accorde, ça reste du sel...et de la vanille de la Réunion, superbe à 2€ la gousse, ça se tient.

Pour le poivre, comptez 5 à 15€ les 100g, pas de quoi se priver...commencez par sentir...et votre moulin à poivre de l'hyper d'en face, qui ruine plus qu'il ne nourrit les plats: direction poubelles! 

Bonne Année poivrée!

 

 

Le Comptoir Colonial - 22, rue Lepic - Paris 18 - 01 42 58 44 84

 

www.lecomptoircolonial.com

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3 janvier 2011 1 03 /01 /janvier /2011 09:00

C'est vrai qu'il est devenu populaire le chef Piège, entre un Dîner presque parfait et Top chef, une vraie star du petit écran; On aurait presque oublié qu'après avoir fait ses classes au Chabichou et au Crillon, les cuisines des palaces, 2 ou 3 étoiles n'avaient plus de secrets pour lui (chef du Plaza Athénée puis du Crillon).

20h45, il est temps de monter les marches derrière la petite porte à droite du 79 rue Saint Dominique pour accéder au studio...oups! le terme boudoir conviendrait mieux. Accueil tout en "beauté"...charmant comme en bas, installation dans "l'antre" cosy, enfoncé comme il faut dans de gros canapés: on est prêt à y passer la nuit, jouez vos gammes maestro!

Choix des vins judicieux, on est pas obligé de tripler l'addition et c'est déjà pas mal: commençons par un blanc de Collioure bien fruité, parfait pour se chauffer les papilles.

Règle du je(u): mises en bouche, grignotages, fromages et gourmandises compris, il faut choisir 1 (70€), 2 (90€) ou 3 ingrédients (115€) parmi ce soir-là, les noix de Saint-Jacques de plongée, les langoustines vivantes, le bar de ligne, ris de veau ou poularde de la cour d'armoise. Ayant choisi 2 ingrédients, mon ris de veau sera l'entrée, la poupoule le plat, c'est parti, envoyez la sauce!amuses-bouches-thoumieux.JPG

Du pur "new" Piège à l'image de ses sardines à la vache qui rit d'en bas, avec un "dans l'esprit d'un jambon beurre", moule/frite, maki de céleri à la truffe, croquette juteuse et anchoïade: en grand facebookien, "j'aime". Conseil judicieux d'une des 2 jeunes femmes du lieu pour le vin, nous voilà parti sur un côte du Rhône; Parfait, on continuera le repas

là-dessus. Voilà les ris de veau qui arrivent, un chicon divin noir de truffe, quelques dés de jambon, régressif, on en redemande. Les 2 femmes de la table avaient choisi langoustine et bar, pour les avoir goûté...j'peux vous dire qu'il n'y avait justement pas grand chose à dire à part ouahhh ou hummm en souriant.

La discussion suit son cours, animée, un coup de rouge par-ci, un coup de rouge par-là voilà la poularde: Une tuerie; le suprême bien recouvert d'une sauce remarquable, rare, très rare même, elle-même recouverte de truffe d'Alba (je me la suis râpé, j'étais au milieu et ce n'était pas très pratique pour le maître d'hôtel qui avait le sourire en voyant le mien)poularde-thoumieux.JPG

Vous pourriez dire "c'est du poulet" et dans un sens, c'est vrai que ça reste un volatille jacquetant pour son grain, mais je vous laisse le votre et je garde celle-là...sa cuisson, son goût, son jus, sa sauce, son accompagnement...j'en reveux!!!

Fromages de chez Xavier, parfait; En même temps je ne vais pas trahir le pays, c'est mon fromager mais j'ai oublié de leur demander la raison de leur choix, il y a quand même de très bons fromagers à Paris alors pourquoi choisir un Toulousain? Par ailleur vous vous doutez bien que je valide ce choix...

Bugnes, ananas à la coco et herbes fraîches, crème à la cardamone, petit macaron glacé fondant et enfin un bel opéra revisité. Ce dîner était parfait dans sa globalité, rien à redire au service, attentif et décomplexé qui fait que l'on se sent bien. Comme dans beaucoup d'endroits, se méfier de l'eau servie en permanence, si vous ne voulez pas de la sempiternelle Chateldon, n'hésitez pas à réclamer une carafe, à 10€ la bouteille...ça monte vite. Pain sortant du four à chaque panière, délicieux. Un J-F Piège que l'on n'imagine pas "parader" parmi les tables (comme l'a remarqué le critique d'un magasine connu) tant il parait plutôt humble et timide quand il vient vous saluer à la fin; Bon, peut-être ma carrure de rugbyman l'a t'elle impressionné...joke!. Niveau des tarifs, c'est pas donné, on n'est pas au Mc Do non plus me direz-vous mais ils me paraissent justifiés: compter 100€ minimum par personne avec une bouteille de vin.

Faut-il y aller? Si ce qui précède ne vous a pas suffi je vous réponds: Evidemment! Il faudra prévoir votre réservation car ce formidable petit boudoir n'a que 20 couverts alors...Go!

 

Jean-François Piège - 1er étage du Thoumieux - 79 rue Saint Dominique - Paris 7 - 01 47 05 79 79 -

 

www.jfpiege.com - www.thoumieux.com

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 11:20

Après les bouchées-à-la-reine, pourquoi pas un bon pot-au-feu. Par ces temps glacés (et oui je suis dans le nord en ce moment), rien de tel pour se faire plaisir, bavardant longtemps avec les gens qu'on aime, un verre à la main, la moelle sur le pain; pour finir, repu dans le canapé autour du feu. Pour 4 à 6 personne, il vous faudra: 1kg de plat de côte, 1 tronçon de jarret de boeuf (500g), 500g de macreuse ou 500g de jumeau ou de la joue, du gîte, en fait: Demandez à votre boucher, c'est ce qu'il y a de mieux ( Prévoir 1 os à moelle par personne ), 4 grosses carottes, 2 gros oignons, 4 gros poireaux, 4 navets ronds, 1 bouquet garni, 1 clou de girofle, 400g de pommes de terre (ratte), 4 échalotes, 1 botte de persil, gros sel, sel et poivre du moulin. De quoi faire une vinaigrette. Annonçons la couleur, en bon plat des familles, le pot-au-feu est un plat qui nécessite un peu de préparation simple (laver, éplucher, couper) mais beaucoup de cuisson (3h10 à 3h30).

Cuisons le pot-au-feu: éplucher et laver tous les légumes, mettre de l'eau froide dans un faitout, ajouter la viande, porter à ébullition, puis jeter l'eau. Remettre de l'eau froide sur la viande, ajouter 2 carottes, 1 gros poireau, 1 navet, 1 oignon piqué d'un clou de girofle et le bouquet garni. Faire bouillir et écumer dès que nécessaire (la mousse sur le dessus), saler légèrement au gros sel, ajouter quelques grains de poivre. Laisser cuire à petit bouillon pendant 2h30 à 2h45, retirer les légumes de cuisson et les remplacer par les légumes qui restent (sauf les pommes de terre); Prolonger 40 min. Cuire les pommes de terre à part, dans une casserole d'eau salée pendant 20 min (piquez-les quand même pour vous assurer de la cuisson, elles doivent être cuites en restant un peu ferme), les éplucher, les couper en rondelles, les réserver.pot-au-feu.JPG

Quand le pot-a-au-feu est cuit, retirer la viande et les légumes, si nécessaire continuer à faire bouillir le bouillon pour le corser (obtenir 1,5 à 2 litres de bouillon pour la soupe du soir...hummmm). Recouvrir les os à moelle d'un peu de bouillon, les cuire 15 min.

Préparer une vinaigrette peu moutardée et très huilée, ciseler tout le persil, détailler en petits morceaux les échalottes. Mettre tout ça dans les patates refroidies et bien mélanger.

Dresser le pot au feu: Réchauffer tous les légumes dans le bouillon, à feu vif pendant 5 min, couper la viande en morceaux. Disposer sur un grand plat chaud les légumes au centre et la viande autour, servir avec de la fleur de sel (ou du gros sel, n'oublions pas qu'on pourrait appeler ce plat un boeuf gros sel!!) du raifort, de la moutarde, et soyons fous, des cornichons. N'oubliez pas votre bonne salade de patate, j'adooore.

Le soir arrivant vite après la sieste, contentez-vous d'un peu de bouillon bien chaud, que vous pourrez éventuellement agrémenter de cheveux d'ange, bande de gourmands!

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31 décembre 2010 5 31 /12 /décembre /2010 10:18

On le savait déjà mais "une fièvre gourmande s'est emparée des Français. Plus gourmet que jamais, ils épluchent et mitonnent comme des chefs! Hier corvée, la cuisine rime désormais avec plaisir. Même à la télévision, elle fait recette. Et si le parfum du bonheur mijotait au fond des marmites?"figaro.JPG

Filez à la maison de la presse acheter le Fig/mag, tout est dans le titre, même si le sujet devient redondant, je ne m'en lasse pas. "Profession: chef cathodique", "à chaque région, son repas tradition" avec A.Ducasse, P.Bocuse, M.Trama et M.Haeberlin, et pour finir "le souper du roi a Versailles". Bonne lecture de nouvelle année et dans l'esprit suivra la recette du bon gros classique pot-au-feu...hummm

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  • : 150g de recettes, 225g de restaurants, 75g de pensées culinaires, que dis-je,d'envolées lyriques: C'est la gastronomade'n'roll. Shake it & Check this blog Contact: rlafarge@hotmail.fr
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